Homme de Lettres, Noël WALTERTHUM se consacre à l’enseignement de 1970 à 2008, où il jalonne son parcours de nombreux projets musicaux et d’écriture avec ses élèves.

Homme de plume, le poète publie trois recueils : « Angles », « Les Murs », et « le Voleur de temps ».

Le tendre rebelle signe également  « Léo et l’école », un essai remarqué par l’académie de Grenoble qui le conseille aux IUFM.

Homme de passions, voulant vivre hors des conventions, il se définit comme quelqu’un qui aura passé sa vie à rêver.

A travers l’écriture de plus de 70 chansons déposées à la SACEM et 7 albums balisant l’itinéraire de cet auteur- compositeur- interprète, un romantique bien dans son temps.

Je me souviens de la gitane sur fond de Foret-Noire
Y avait un lac et du brouillard, passait ma vie en filigranes
Je me souviens de la gitane sur fond de vieux chateau
Y avait une fee sur mon berceau et J’etais bien et c’etait beau
Les archets dansaient, chantaient les tziganes
Des airs oublies pres des caravanes

Noël Walterthum

Paroles et Musique Noël Walterthum. Extrait de l’album « Infiniment » (2018)

Septième album pour le mosellan Noël Walterthum, sans compter un album pour enfants, en français et en allemand, des recueils, un livre. Auteur (en français mais aussi en allemand), compositeur depuis 1981, sélectionné au Printemps de Bourges avec un premier album qui n’est plus commercialisé, il a d’abord été professeur de lettres et directeur d’écoles, avant de se consacrer à la chanson.

Accompagné par un quintet de bons musiciens, l’album a une tonalité parfois variétés plus que chanson, une esthétique peut-être plus allemande que française, avec Les ailes du désir ou Les nuits solitaires. Ou Les rêves de lumière, samba sans haut…, voix de charme, joli hymne à la fidélité un peu sage.
Elle se fait  andalouse sur cette Gitane, archétype de la femme mystère transposée à l’Est au cœur de la Forêt noire.

C’est avec Comédienne, qui prend des accents nettement jazz, que Noël semble retrouver ses vingt ans et peut-être ses propres doutes : « Au bar des solitudes tu pianotes de vieux airs / Tu rêves de Paris et d’un public en pleurs / Tu crèves d’inquiétude le public est sévère / Tu donnes rendez-vous ». Qui peuvent devenir douloureux : « T’as mal comme un soldat qui doit tirer ou mourir sans savoir pourquoi ». On retient Marée basse, poétique et nostalgique dans une sobriété acoustique bienvenue.

Infiniment est un album tout dédié à l’amour qui veut briller à l’infini « si doux, si violent à la fois ». 

 

Ajouté par Catherine Laugier le 8 décembre 2018.
Lien vers l’article ici.

NOEL WALTERTHUM, un romantique bien dans son temps

« Ecrivain, auteur, compositeur, interprète et poète », c’est tout cela qui définit Noël Walterthum.

Après des débuts remarqués (Premier prix RTL en 1969, pour la chanson Sacramento), il se distingue en étant finaliste de la sélection mosellane du Printemps de Bourges en 1992 avec l’album « Le Château  »

 

 En 1994, paraît son deuxième album « Comme Avant» avec le guitariste Dorado Schmitt. Le titre phare « Comédienne » rencontre un vif succès en radio.

Sélectionné au festival « l’Ecluse d’Or » de Saint-Malo, il termine sur le podium avec sa chanson « Marée basse »

Finaliste du festival « Perspectives de Sarrebruck », il assure la première partie d’Isabelle Aubret et Romain Didier.

En 2000, sort un troisième album « Laissez les rêver » qu’il interprète au Galaxy d’Amnéville en finale du concours OPAC de Lorraine.

2001 est aussi une année féconde avec la sortie d’une comédie musicale « L’Héllébore noir », projet soutenu par la DRAC, le département et l’Education Nationale.

A l’automne 2008, paraît l’album « la fille du café » dont l’un des titres « Comme une grande indifférence » sera sélectionné au concours de la chanson française à Vichy.

2011 En collaboration avec le musicien sarrois Christoph Kleuser, il produit son cinquième album «  Le café des regards »

« On le voit, l’homme est prolifique : tout est prétexte à écrire. »

Une passion célébrée dans des recueils de poésie (Angles, les Murs et Le Voleur de Temps en 2004 aux éditions Pierron) et dans son dernier essai Léo et L’école (éditions de la Lune) en 2007.

L’écriture est également une rencontre avec sa fille Anne qui a signé plusieurs textes de ses albums.

Depuis huit ans, il collabore  au journal « La Semaine » à Metz.

Son septième album  « Life trip » a vu le jour fin 2014. Il est le fruit de plusieurs collaborations notamment avec l’arrangeur et guitariste renommé Eric Sempe.

 « Des chansons qui restent dans l’air, délicieusement suspendues, comme si on les avait déjà entendues mille fois… Qui ont tout pour devenir mémoire. » J.C. Schuler( La Lorraine)

« Des cailloux qui balisent l’itinéraire de ce romantique bien dans son temps, qui aime la scène parce qu’elle permet un échange. Par la musique, les mots mais aussi les regards. » J.M Louis ( La Semaine)

« Ses dons, son charme, sa finesse semblaient devoir lui permettre de briller sans effort… Mais il est dit que le monde du show business est cruel. Le chanteur lorrain a su garder une tendresse de la voix, venue sans doute du cœur et une distinction naturelle qui le sauvent de toute vulgarité . »A Greiner ( le Républicain Lorrain)

« Il est un mélange de Marcel Amont et d’Hugues Aufray pour sa finesse et sa capacité à entraîner le public » Pierre Séguy producteur de l’émission  « Chansons de Paris » sur les ondes de SR3

En 2018 il rencontre le guitariste arrangeur Guido Allgaier avec lequel il produit son huitième album « infiniment »  dont le titre phare « La Gitane » passe régulièrement sur les ondes de la radio sarroise.

 

2019-2021 :

Il met en musique de grands poèmes français : Hugo, Rimbaud, Verlaine et Baudelaire. 11 poèmes intégrés dans un spectacle mis en scène et écrit par Muriel Anastaze RVF.

        Noel Walterthum , ein Romantiker

 

Mit „Infinement“ hat Noel Walterthum seinen Weg gefunden.

Dieses 7. Album infinement (unendlich) bestätigt den roten Faden seines Werkes: sein eigenes Leben. Dieses sein Leben ist ohne Narzismus ausgekommen. Bis jetzt war es eine ängstliche Suche nach dem Sinn des Lebens. Schrittweise hat er ihn nun gefunden. In der vorhergehenden CD “Life trip“ sind schon Hinweise auf diese bevorstehende Entwicklung zu erkennen. In der neuen CD deuten ganz offensichtlich die Texte auf die Phasen eines erfüllten Lebens hin. Dieses Leben hat durch Erfahrungen und Irrwege, aber auch durch Glücksgefühle und Leiden, sowie mit erworbenen Überzeugungen in eine „Selbstbefreiung“ geführt.

„Ich habe viel Zeit verloren, da ich immer wieder Fragen nach dem „Wie“ und nach dem „Warum“ gestellt habe. Aber ich habe weder Antworten noch Lösungen gefunden. Und heute lerne ich die „Gegenwart“ verstehen. Der Zeit „Zeit“ zu geben. Diese Selbstbefreiung wird getragen, durch den Wunsch näher an „meiner Wahrheit“ zu sein. Sie diese Selbstbefreiung ist auch die Frucht der Bekanntschaft mit dem Gitarristen Guido Allgaier. Er hat mich zu ihr hingeführt und mein eigenes Potential noch verstärkt. Seine Gitarre singt mit mir, durch ihn haben meine Chansons eine natürliche Einfachheit erzielt, auf die ich schon lange, fast sehnsüchtig gewartet habe. Unter diesen Gesichtspunkten habe ich meine Chansons aufgenommen.

Zum Beispiel die „Gitane“, der ich früher einer anderen Stimme anvertraut habe und die jetzt durch dieses neue Arrangement ihr eigenes Leben gefunden hat.
Parallel zu dieser Geschichte der Gitane, habe ich jetzt auch meinen Weg gefunden, ich brauche mich jetzt nicht mehr zu verbiegen. Ich will nun mehr in diesem Stiel weiter machen“, so Noël Walterthum.

In den 10 Chansons der neuen CD „infinement“ zeigt sich die Metamorphose eines Künslers, der sich jetzt frei fühlt. Wenn Melodie und Rhytmus zusammenpassen und deswegen ins Ohr gehen, dann strahlen auch die Texte „Stärke“ aus.
Noël Walterthum hat noch viel zu sagen und möchte auch noch mit seinen Chansons etwas bewegen. Vor allem möchte er die Herzen der Menschen erreichen.