NOEL WALTERTHUM, un romantique bien dans son temps
« Ecrivain, auteur, compositeur, interprète et poète », c’est tout cela qui définit Noël Walterthum.
Après des débuts remarqués (Premier prix RTL en 1969, pour la chanson Sacramento), il se distingue en étant finaliste de la sélection mosellane du Printemps de Bourges en 1992 avec l’album « Le Château »
En 1994, paraît son deuxième album « Comme Avant» avec le guitariste Dorado Schmitt. Le titre phare « Comédienne » rencontre un vif succès en radio.
Sélectionné au festival « l’Ecluse d’Or » de Saint-Malo, il termine sur le podium avec sa chanson « Marée basse »
Finaliste du festival « Perspectives de Sarrebruck », il assure la première partie d’Isabelle Aubret et Romain Didier.
En 2000, sort un troisième album « Laissez les rêver » qu’il interprète au Galaxy d’Amnéville en finale du concours OPAC de Lorraine.
2001 est aussi une année féconde avec la sortie d’une comédie musicale « L’Héllébore noir », projet soutenu par la DRAC, le département et l’Education Nationale.
A l’automne 2008, paraît l’album « la fille du café » dont l’un des titres « Comme une grande indifférence » sera sélectionné au concours de la chanson française à Vichy.
2011 En collaboration avec le musicien sarrois Christoph Kleuser, il produit son cinquième album « Le café des regards »
« On le voit, l’homme est prolifique : tout est prétexte à écrire. »
Une passion célébrée dans des recueils de poésie (Angles, les Murs et Le Voleur de Temps en 2004 aux éditions Pierron) et dans son dernier essai Léo et L’école (éditions de la Lune) en 2007.
L’écriture est également une rencontre avec sa fille Anne qui a signé plusieurs textes de ses albums.
Depuis huit ans, il collabore au journal « La Semaine » à Metz.
Son septième album « Life trip » a vu le jour fin 2014. Il est le fruit de plusieurs collaborations notamment avec l’arrangeur et guitariste renommé Eric Sempe.
« Des chansons qui restent dans l’air, délicieusement suspendues, comme si on les avait déjà entendues mille fois… Qui ont tout pour devenir mémoire. » J.C. Schuler( La Lorraine)
« Des cailloux qui balisent l’itinéraire de ce romantique bien dans son temps, qui aime la scène parce qu’elle permet un échange. Par la musique, les mots mais aussi les regards. » J.M Louis ( La Semaine)
« Ses dons, son charme, sa finesse semblaient devoir lui permettre de briller sans effort… Mais il est dit que le monde du show business est cruel. Le chanteur lorrain a su garder une tendresse de la voix, venue sans doute du cœur et une distinction naturelle qui le sauvent de toute vulgarité . »A Greiner ( le Républicain Lorrain)
« Il est un mélange de Marcel Amont et d’Hugues Aufray pour sa finesse et sa capacité à entraîner le public » Pierre Séguy producteur de l’émission « Chansons de Paris » sur les ondes de SR3
En 2018 il rencontre le guitariste arrangeur Guido Allgaier avec lequel il produit son huitième album « infiniment » dont le titre phare « La Gitane » passe régulièrement sur les ondes de la radio sarroise.
2019-2021 :
Il met en musique de grands poèmes français : Hugo, Rimbaud, Verlaine et Baudelaire. 11 poèmes intégrés dans un spectacle mis en scène et écrit par Muriel Anastaze RVF.